le processus alchimique est le pardon

C’EST QUAND QU’ON ARRIVE dans l’ AMOUR ? Pour découvrir une nouvelle fois le bonheur léger d’un Amour d’été, tels des enfants insouciants qui offrent toute leur confiance dans le regard, dans la main et dans le coeur de l’être aimé.

Voilà 3 clefs exceptionnelles : PAIX, LUMIERE et AMOUR. Que de belles intentions tellement désirées, ou invoquées en mantras répétitifs. Pourtant, ce sont bien plus que des mots. Nous les associons souvent à tord à des sentiments. Alors qu’il s’agit en fait de passage à de nouveaux plans de consciences. Un plan de conscience est inconscient, il se dévoile uniquement quand on le démasque. Par exemple, lorsque nous réalisons la prise de conscience de notre peur, nous pouvons commencer à cheminer vers l’ Amour. Mais lorsque nous sommes dans la peur, nous ne le savons pas. Nous ne quittons pas totalement la peur, nous l’apprivoisons.

Un changement de plan de conscience n’est pas une nouvelle notion apprise dans un livre ou lors d’un stage de coaching en développement personnel. C’est le fruit d’une lente mutation intérieure et graduelle qui transforme ensuite radicalement votre contexte de vie. La matrice se synchronise à votre nouvel état de conscience. Il y a souvent un avant et un après.

On ne peut pas atteindre les 3 clefs en les citant ou en tentant de les comprendre par le mental. Impossible. Personne ne peut vous transmettre la méthode, juste vous guider vers Vous-même, vers votre propre responsabilité. C’est une expérience intérieure, uniquement réalisée par le ressenti vibratoire. En raison de nos propres résistances, croyances, conditionnements et programmes de vies, c’est parfois exigeant, long et délicat.

Le processus ALCHIMIQUE est le PARDON. C’est le pardon qui nous permet de cheminer vers l’ UNITE. Ce qui a généré la distance et l’illusion de la SEPARATION intérieure est le JUGEMENT que nous avons porté sur une partie de nous même. Mais c’est surtout un jugement que nous portons sur des dimensions extérieures à nous, avant de se rendre compte qu’il s’agissait en fait d’une partie de Soi. Toute notre vie extérieure est le reflet de nous-même. Chaque jugement crée une barrière énergétique de coupure avec l’univers et avec soi. Chaque pardon dévoile au contraire une nouvelle dimension de soi, révèle de nouveaux dons et amplifie notre relation avec l’ Univers.

C’EST QUAND QU’ON ARRIVE à SOI ? Lorsque ces 3 puissants pardons seront réalisés.

L’une après l’autre, au grée de notre désir d’évolution, de notre éveil, c’est notre élévation vibratoire qui génère les prises de conscience successives. Elles ne sont pas réalisées par l’adulte que nous sommes devenus, mais par notre enfant intérieur. Celui qui a été blessé lors de notre enfance et qui porte toujours en nous sa plaie béante. Cette plaie souvent inconsciente qui contribue à nous figer dans un plan de conscience considéré comme non harmonieux. Pour pardonner totalement, nous devrons vibrer le plan de conscience de celui ou celle que nous avons jugé, pour nous permettre de l’aimer en retour de manière inconditionnelle, par totale empathie. C’est à chaque fois une libération et un dépouillement exceptionnel.

C’est la voie de guérison intérieure du CORPS, de l’ESPRIT et de l’ ÂME. Par l’oeuvre alchimique du NOIR (mère), BLANC (père) et ROUGE (fils), nous restaurons ainsi la TRINITE du flux d’Amour universel. C’est parfois le chemin d’une vie pour aimer l’intégralité des parties de soi, dans le reflet de nos expériences extérieures. Le plan de conscience de l’ Amour accepte, sans jugement de valeur, TOUTES les formes d’amour ( de relation ) entre les consciences : amicales, conditionnelles et inconditionnelles. L’Amour est le support vibratoire de toutes manifestations dans l’ univers. L’Amour est l’ Univers structurel. Nous sommes Amour. La vie est Amour. Le plan de conscience de la lumière est l’information pure dans toutes ses dimensions. Le plan de conscience de la Paix est dans l’acceptation de tout ce qui est, hors de la dualité.

S’aimer, totalement, c’est peut être notre unique mission d’incarnation, non ?